Activité 5 -La Terreur
définitions importantes

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Les documents
Doc 1. La France menacée
Doc 2. La Terreur pour sauver la République, selon Robespierre
Pour fonder et pour consolider parmi nous la démocratie, pour arriver au règne paisible des lois constitutionnelles, il faut terminer la guerre de la liberté contre la tyrannie [...]. Il faut étouffer les ennemis intérieurs et extérieurs de la République, ou périr avec elle ; or, dans cette situation, la première maxime de votre politique doit être que l’on conduit [...] et les ennemis du peuple par la terreur.[...]. La protection sociale n’est due qu’aux citoyens paisibles : il n’y a de citoyens dans la République que les républicains. Les royalistes, les conspirateurs ne sont, pour elle, que des étrangers, ou plutôt des ennemis. Le tribunal révolutionnaire est institué pour punir les ennemis du peuple. Sont réputés ennemis du peuple ceux qui auront provoqué le rétablissement de la royauté [...] ; ceux qui auront secondé les projets des ennemis de la France [...]. La peine portée contre tous les délits est la mort. Discours de Robespierre, 5 février 1794. |
École française du xviiie siècle, Portrait de Maximilien Robespierre, musée Carnavalet.
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Doc 3. L'exécution de Robespierre le 28 juillet 1794
Après les victoires des armées Républicaines, la Terreur n'a plus de raison d'être et l'opposition à Robespierre reprend le dessus. Robespierre est alors arrêté le 27 juillet 1794 et exécuté car jugé responsable des morts de la Terreur. En effet, la Terreur a permis aux partisans de Robespierre d’éliminer ses opposants politiques grâce à des jugements sans appel possible.
Après les victoires des armées Républicaines, la Terreur n'a plus de raison d'être et l'opposition à Robespierre reprend le dessus. Robespierre est alors arrêté le 27 juillet 1794 et exécuté car jugé responsable des morts de la Terreur. En effet, la Terreur a permis aux partisans de Robespierre d’éliminer ses opposants politiques grâce à des jugements sans appel possible.
M.J. Maximilien Robespierre : surnommé le Catilina moderne, éxécuté le 10 Thermidor an 2.e, de la République, 1794, Gallica.